A Kalemie, les recherches restent toujours vaines 48 heures après l’échec à l’entrée du port d’une embarcation bourrée de sacs du sel au port de Kalemie. Prise par le vent, l’embarcation RISSA en provenance de Tanzanie a perdu vendredi, 1er octobre 2010 vers 8 heures locales, une bonne partie de sa cargaison. Le secours porté par les éléments belges basés au port pour les travaux de dragage du port ont permis de sauver la dizaine des passagers y compris les membres de l’équipage et une dizaine de sacs du sel. Comment comprendre un tel sinistre au port de Kalemie ? Le Commissaire Maritime du bief supérieur parle d’un mauvais temps. Eléazar KATUMBWE MUMBA attribue l’erreur des manœuvres au capitaine de l’embarcation qui n’a pas pu suivre le chenal conduisant au quai.
L’embarcation avait à son bord 1600 sacs de sel dont seule une dizaine a pu être retirée de la cargaison ayant coulé.
Cet incident de la navigation est le troisième du genre à être enregistré depuis le début de l’année au port de Kalemie. Deux autres embarcations en bois et un bateau pris par la tempête ont chaviré faisant couler toute leur charge au port.
L’embarcation avait à son bord 1600 sacs de sel dont seule une dizaine a pu être retirée de la cargaison ayant coulé.
Cet incident de la navigation est le troisième du genre à être enregistré depuis le début de l’année au port de Kalemie. Deux autres embarcations en bois et un bateau pris par la tempête ont chaviré faisant couler toute leur charge au port.
Cet accident de la navigation intervient deux mois après que l’inquiétude planait parmi les armateurs. Le port de Kalemie est de nouveau sous la menace d’un banc de sable à la suite de l’interruption depuis trois mois des travaux de désensablement. La RVF, Régie des Voies Fluviales, partenaire à la CTB, Coopération technique belge, s’empresse de rassurer de son côté. Les travaux, affirme-t-on, pourraient reprendre au courant de ce mois de septembre.
A l’état actuel des choses, ce n’est pas encore l’impasse au port public de Kalemie. Toutefois, à l’allure où vont les choses, préviennent les armateurs, les bateaux pourraient ne plus y accoster si rien n’est fait dans les trois prochains mois. Et cela à cause du banc de sable qui vient de regagner du terrain à la suite de l’interruption des travaux de dragage du port de Kalemie.
Déjà, le bateau ZONGWE, un remorqueur de la SNCC, Société Nationale des Chemins de Fer du Congo, qui a un tirant d’eau d’un peu plus de 3 m, ne sait plus accoster. Tout récemment encore une barge de la même compagnie ferroviaire a dû se délester d’une partie de ses marchandises et convoyer seulement 244 tonnes au lieu de 600 tonnes.
A la RVF, Régie des voies fluviales, on explique que l’interruption est la conséquence des vents violents qui ont soufflé sur le lac Tanganyika depuis le mois de mai. Le temps que les techniciens belges rentrés de leur pays puissent réunir les moyens pour reprendre les travaux de désensablement du port. Le temps aussi pour les éléments du bataillon de Franchissement de l’armée congolaise, FARDC, d’achever la réparation des machines tombées en panne, affirme la même source.
Par ailleurs, tout en restant sur le même chapitre des accidents de la navigation, une autre pirogue s’est renversée jeudi dernier sur le fleuve Congo à la hauteur du village de Bandala dans le Territoire de Manono. Manono est à 450 km au Sud-ouest de Kalemie. Un vent violent a surpris la pirogue de fortune au milieu du fleuve Congo. Prises de panique, trois femmes, membres d’une même famille, se trouvant abord de la pirogue, se sont jetées sur l’eau du fleuve. Bilan trois morts et deux rescapés dont un bébé de trois mois.
A l’état actuel des choses, ce n’est pas encore l’impasse au port public de Kalemie. Toutefois, à l’allure où vont les choses, préviennent les armateurs, les bateaux pourraient ne plus y accoster si rien n’est fait dans les trois prochains mois. Et cela à cause du banc de sable qui vient de regagner du terrain à la suite de l’interruption des travaux de dragage du port de Kalemie.
Déjà, le bateau ZONGWE, un remorqueur de la SNCC, Société Nationale des Chemins de Fer du Congo, qui a un tirant d’eau d’un peu plus de 3 m, ne sait plus accoster. Tout récemment encore une barge de la même compagnie ferroviaire a dû se délester d’une partie de ses marchandises et convoyer seulement 244 tonnes au lieu de 600 tonnes.
A la RVF, Régie des voies fluviales, on explique que l’interruption est la conséquence des vents violents qui ont soufflé sur le lac Tanganyika depuis le mois de mai. Le temps que les techniciens belges rentrés de leur pays puissent réunir les moyens pour reprendre les travaux de désensablement du port. Le temps aussi pour les éléments du bataillon de Franchissement de l’armée congolaise, FARDC, d’achever la réparation des machines tombées en panne, affirme la même source.
Par ailleurs, tout en restant sur le même chapitre des accidents de la navigation, une autre pirogue s’est renversée jeudi dernier sur le fleuve Congo à la hauteur du village de Bandala dans le Territoire de Manono. Manono est à 450 km au Sud-ouest de Kalemie. Un vent violent a surpris la pirogue de fortune au milieu du fleuve Congo. Prises de panique, trois femmes, membres d’une même famille, se trouvant abord de la pirogue, se sont jetées sur l’eau du fleuve. Bilan trois morts et deux rescapés dont un bébé de trois mois.
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