A Kalemie, le Programme Elargi de Vaccination(PEV), Antenne de Kalemie, double des stratégies pour sensibiliser les parents réfractaires à la vaccination contre la poliomyélite au Nord Katanga. Le constat que fait le médecin chef d’antenne intervient au deuxième jour de la campagne. La deuxième phase de la campagne de lutte amorcée depuis jeudi, 28 octobre, contre la poliomyélite a été lancée au quartier périphérique de Kamkolobondo. Cette campagne cible environ 460.000 enfants de 0 à 5 ans.
A cet effet, 11 zones de santé ont entamé leurs activités de vaccinations avec tous les intrants nécessaires. Le Commissaire de district du Tanganyika a organisé la veille de la campagne une séance de sensibilisation des chefs de quartiers, des pairs éducateurs, des hommes d’Eglises et d’autres services techniques paraétatiques pour obtenir leur implication dans la réussite de la campagne.
La première phase ne s’était pas passée sans problèmes même si l’ensemble des opérations a connu un franc succès, a affirmé le Médecin Chef d’antenne PEV. Les prestataires ont au cours de la séance d’évaluation fait état d’un certain nombre des cas de résistance des parents à la vaccination de leurs enfants contre la polio. Parlant des cas de résistance face à la vaccination, le Médecin Chef d’Antenne PEV avance plusieurs raisons pour comprendre le comportement des parents réfractaires. Le Dr Colar Madika explique que cette résistance est premièrement liée aux convictions religieuses d’une franche partie des parents. Les parents disent que les enfants meurent d’anémie, de paludisme et font la diarrhée à cause du vaccin. Ce qui est faux, rétorque le médecin responsable du PEV au Tanganyika. Ensuite, les parents ne sentent pas aussi la même mobilisation que la communauté accorde au cas de poliomyélite à d’autres maladies dans le milieu. Certains parents vont jusqu’à accuser la vaccination d’être à la base de la diarrhée, de l’anémie. Pour tous les cas, le Dr Colar Madika parle de manque d’informations et de connaissances sur l’épidémie de poliomyélite.
A cet effet, le médecin chef d’antenne PEV appelle la communauté à la prise de conscience sur les conséquences de la poliomyélite sur la vie des enfants.
La survenue de l’anémie, la survenue du paludisme, la survenue de la diarrhée ; toutes ces maladies n’ont rien avoir avec la vaccination, a fait observer le Dr Colar. La vaccination protège les enfants. L’anémie est liée au paludisme et non à la vaccination. La diarrhée enregistrée fréquemment dans cette zone endémo-épidémique de Kalemie est due aux germes de cholera sévissant dans le milieu. Le paludisme et le cholera constituent la série des maladies plus létales dont la mortalité est bien franche, note le médecin chef d’antenne.
Par rapport à la poliomyélite, une maladie jugée comme un problème d’ordre international, l’objectif consiste à arrêter la circulation du virus. Non seulement la polio rend infirme la personne toute sa vie mais elle tue aussi. Ce que les parents doivent comprendre. Un seul cas de virus sauvage de poliomyélite signalé à Kalemie doit être perçu comme un danger qui inquiète le monde médical. Ce cas doit être traité et suivi avec beaucoup de sérieux médical. Un cas qui incite une réaction médicale appropriée.
Les activités de sensibilisation et d’éducation ayant été mises en œuvre, plusieurs canaux de sensibilisation activés et utilisés dans la communauté, beaucoup de parents doivent être vite alignés sur la vaccination ; a espéré le Dr Colar MADIKA au bout de la campagne.
A cet effet, 11 zones de santé ont entamé leurs activités de vaccinations avec tous les intrants nécessaires. Le Commissaire de district du Tanganyika a organisé la veille de la campagne une séance de sensibilisation des chefs de quartiers, des pairs éducateurs, des hommes d’Eglises et d’autres services techniques paraétatiques pour obtenir leur implication dans la réussite de la campagne.
La première phase ne s’était pas passée sans problèmes même si l’ensemble des opérations a connu un franc succès, a affirmé le Médecin Chef d’antenne PEV. Les prestataires ont au cours de la séance d’évaluation fait état d’un certain nombre des cas de résistance des parents à la vaccination de leurs enfants contre la polio. Parlant des cas de résistance face à la vaccination, le Médecin Chef d’Antenne PEV avance plusieurs raisons pour comprendre le comportement des parents réfractaires. Le Dr Colar Madika explique que cette résistance est premièrement liée aux convictions religieuses d’une franche partie des parents. Les parents disent que les enfants meurent d’anémie, de paludisme et font la diarrhée à cause du vaccin. Ce qui est faux, rétorque le médecin responsable du PEV au Tanganyika. Ensuite, les parents ne sentent pas aussi la même mobilisation que la communauté accorde au cas de poliomyélite à d’autres maladies dans le milieu. Certains parents vont jusqu’à accuser la vaccination d’être à la base de la diarrhée, de l’anémie. Pour tous les cas, le Dr Colar Madika parle de manque d’informations et de connaissances sur l’épidémie de poliomyélite.
A cet effet, le médecin chef d’antenne PEV appelle la communauté à la prise de conscience sur les conséquences de la poliomyélite sur la vie des enfants.
La survenue de l’anémie, la survenue du paludisme, la survenue de la diarrhée ; toutes ces maladies n’ont rien avoir avec la vaccination, a fait observer le Dr Colar. La vaccination protège les enfants. L’anémie est liée au paludisme et non à la vaccination. La diarrhée enregistrée fréquemment dans cette zone endémo-épidémique de Kalemie est due aux germes de cholera sévissant dans le milieu. Le paludisme et le cholera constituent la série des maladies plus létales dont la mortalité est bien franche, note le médecin chef d’antenne.
Par rapport à la poliomyélite, une maladie jugée comme un problème d’ordre international, l’objectif consiste à arrêter la circulation du virus. Non seulement la polio rend infirme la personne toute sa vie mais elle tue aussi. Ce que les parents doivent comprendre. Un seul cas de virus sauvage de poliomyélite signalé à Kalemie doit être perçu comme un danger qui inquiète le monde médical. Ce cas doit être traité et suivi avec beaucoup de sérieux médical. Un cas qui incite une réaction médicale appropriée.
Les activités de sensibilisation et d’éducation ayant été mises en œuvre, plusieurs canaux de sensibilisation activés et utilisés dans la communauté, beaucoup de parents doivent être vite alignés sur la vaccination ; a espéré le Dr Colar MADIKA au bout de la campagne.
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