Les activités de textile sont mises à genoux faute de nouveaux investissements à Kalemie.
Ce sont des travaux de réhabilitation d’anciennes maisons pouvant accueillir dans un premier temps les techniciens de la Nouvelle Cotonnière du Tanganyika à Kabalo, Kongolo, Lumanisha et Nyunzu qui démarrent ces activités.
Dans les installations de la Filtisaf, les machines n'ont plus fonctionné depuis de nombreuses décennies à Kalemie.
Le projet de la société Nouvelle Cotonnière du Tanganyika prévoit à la fois la reprise des activités de la culture du coton dans les Districts du Tanganyika et du Haut Lomani et des activités de textile à Kalemie dans la Province du Katanga. 6 ans ont valu à l’administration générale de la société pour obtenir l’autorisation du gouvernement congolais de fonctionner comme une société privée d’économie mixte capable de produire et traiter le coton.
Les bâtiments d'anciennes installations cotonnières d'Estagrico à Kongolo.
L’Administrateur Délégué Général explique que la Nouvelle Cotonnière du Tanganyika est une société congolaise comptant aussi sur ces partenaires étrangers notamment américains associés au projet pour le renouvellement de tout l’équipement. A ce sujet, l'ADG Déogratias SYMBA indique que le programme de la Nouvelle Cotonnière du Tanganyika prévoit le renouvèlement de cinq usines de grainage du coton notamment à Kabalo, à Kongolo, à Nyunzu et à Sohe, cette dernière localité, dans le Territoire de Kabongo. Chaque usine coûte 13 millions de dollars ; ce qui constitue à peu près 80 millions de dollars d’investissement pour les cinq usines, a tenu à préciser l’ADG de la société.
La Nouvelle Cotonnière du Tanganyika doit mener ses activités dans les concessions ayant appartenues autrefois à l’ex-société ESTAGRICO.
La Nouvelle Cotonnière du Tanganyika doit mener ses activités dans les concessions ayant appartenues autrefois à l’ex-société ESTAGRICO.
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