lundi 3 janvier 2011

LA VIE DU CLUB: LE CHAMP DE L’ECE-NTCHEKO APPELLE AU RENFORT DE SURVEILLANCE

L'Encadreuse principale de l'ECE-Ntcheko, Sylvie MBUYU, se dit très soucieuse du résultat à mi-chemin des activités de champ entreprises au village de Bimbwi. Et pourtant les enfants doivent exprimer sitôt rentrés en classe le besoin d'etre nourris à l'ECE.

L’Encadreuse principale de l’ECE-Ntcheko a organisé jeudi 29 décembre dernier une visite d’évaluation des activités de champ de l’ECE-Ntcheko entamé depuis trois mois au village de Bimbwi, à 30 km de Kalemie. Mme Sylvie MBUYU s’est rendu compte que le travail réalisé sur place est effectué presqu’à moitié. Sur les 100 m2 obtenus du Chef Djuma KIJUNDO, seuls 35 % de l’espace ont été cultivés. Et pourtant, tous les frais ont été remis aux paysans cultivateurs pour réaliser toute l'étendue. A ces frais, se sont également ajoutés d’autres payements en nature comme des frétins, des huiles végétales, du sel et autre savon remis aux paysans cultivateurs pour encourager leur travail afin de ne pas rater la saison culturale, a indiqué l’Encadreuse principale.


Les mauvaises herbes poussent entre les mais faute de sarclage.

L’Encadreuse principale n’a pas cédé au découragement. Mme Sylvie MBUYU a pris contact avec le Chef de village. Le chef du village ayant compris le bien fondé du projet entrepris pour les enfants de la cité de Kalemie, a réaffirmé sa volonté de prendre en main le dossier. Djuma KIJUNDO a promis premièrement de poursuivre les premiers cultivateurs qui doivent parachever leurs travaux au champ après avoir obtenu de l’argent de l’ECE-Ntcheko. Ensuite, il s’est voulu l’interlocuteur valable pour atteindre les objectifs de l’ECE-Ntcheko dans son village. Le projet prévoit la culture dans un premier temps du mais, du manioc et enfin des arachides.

L’Encadreuse principale de l’ECE-Ntcheko envisage dès la rentrée des vacances de Noël une réunion avec les membres de Comité de Soutien de l’ECE en vue de réunir les nouveaux moyens pour ne pas rater la saison culturale B dans la région.

1 commentaire:

Mike Varron 16 a dit…

L'inquiétude de notre encadreuse est fondée. Devant des telles situations, je voudrais inviter tous les Kalemiards à une véritable cohésion afin de buter dehors tous les ennemis du développement. Vive le clubs Ntsheko qui est déjà représenté à Kinshasa à travers l'un de ses membres: Michel Kifinda Ngoy.