La validation jeudi, 22 octobre 2009, du Plan d’urgence pour la reconstruction de Kalemie a sanctionné la réunion tenue au cabinet de travail du Commissaire de District du Tanganyika à Kalemie. Environ cinquante personnes représentant les services de l’Etat, la Fédération des Entreprises du Congo, les agences du système des Nations Unies, les ongs internationales et les membres de la Société Civile du Tanganyika ont participé à la séance de validation.
Le plan d’urgence validé projette 787.000 dollars américains étalés sur 2 ans avec 29% du coût comme participation de District du Tanganyika à la réalisation du programme. Ce budget intervient après un arrêté du Commissaire de District du Tanganyika, Maurice KYONI NGOY, signé le 23 mars dernier. Cet arrêté a porté sur l’institution d’une Commission de lutte pour la reconstruction de Kalemie. Le Commissaire de district assistant en charge des questions politiques et administratives, Joseph KASONDE, a présidé 7 mois durant les travaux de cette commission ayant fait l’objet de validation.
La commission instituée a éclaté en 6 sous-commissions pour mener des études sérieuses sur les conséquences néfastes que causent les constructions anarchiques sur la ville de Kalemie, autrefois ville touristique. Les sous-commissions ont élaboré un plan de redressement des plans urbanistiques, une amélioration de l’habitat, la salubrité publique et la protection des sites touristiques. Autrement dit, l’identification et le recensement des constructions anarchiques sur les collines, le lotissement, l’aménagement et le reboisement de nouveaux sites lotis, l’urgence et la gestion des catastrophes et le plaidoyer à mener pour mobiliser les ressources font partie des grandes tâches attribuées aux commissions.
Le plan prévoit le lotissement de deux nouveaux sites de 75 ha aux villages de MUKUKU et KATANIKA à une dizaine de km au Nord-ouest de Kalemie. Cette opération cible environ 2000 ménages et 2000 parcelles de nouveaux sites à attribuer aux ménages délocalisés. Une opération de distribution des parcelles pouvant abriter les délocalisés des collines qui doit s’effectuer selon les normes modernes. Il faut noter à ce stade que sur le plan de la protection de l’environnement, le projet prévoit le reboisement de 250 ha des collines et le long des cours d’eau de Kalemie. 2500 plantules d’essences variées par pépin vont devoir être transplantées de 6 pépinières créées et opérationnelles.
Par ailleurs, sur le plan de réhabilitation et d'assainissement de la ville, une brigade à mettre en place exécutera les travaux de réhabilitation des ouvrages de canalisation par le débouchage des caniveaux et la démolition des constructions anarchiques. Les intervenants au cours de débats suscités par cette question de démolition des maisons sur les sites à déguerpir ont cherché à savoir d’où proviendraient les ressources de district pour dédommager les victimes en cas d’exécution de cette mesure. Le commissaire de district a rassuré les participants qu'une telle mesure extrême ne rêvet pas de sa compétence; l'autorité de district a voulu plus passer par la sensibilisation des personnes concernées pour comprendre la necessité de vivre dans un environnement adéquat.
En dehors de 29 % de contribution de District du Tanganyika, le District cible les bailleurs de fonds parmi lesquels les partenaires potentiels : la MONUC par sa branche chargée des affaires civiles, le PNUD, OCHA, le HCR, et d’autres ongs internationales.
Voilà pourquoi après validation du plan à l’unanimité des membres participants, le Commissaire Maurice KYONI a sollicité l’effort de tout un chacun s’étant approprié le plan pour arriver à la sensibilisation et l’exécution du projet.
Le plan d’urgence validé projette 787.000 dollars américains étalés sur 2 ans avec 29% du coût comme participation de District du Tanganyika à la réalisation du programme. Ce budget intervient après un arrêté du Commissaire de District du Tanganyika, Maurice KYONI NGOY, signé le 23 mars dernier. Cet arrêté a porté sur l’institution d’une Commission de lutte pour la reconstruction de Kalemie. Le Commissaire de district assistant en charge des questions politiques et administratives, Joseph KASONDE, a présidé 7 mois durant les travaux de cette commission ayant fait l’objet de validation.
La commission instituée a éclaté en 6 sous-commissions pour mener des études sérieuses sur les conséquences néfastes que causent les constructions anarchiques sur la ville de Kalemie, autrefois ville touristique. Les sous-commissions ont élaboré un plan de redressement des plans urbanistiques, une amélioration de l’habitat, la salubrité publique et la protection des sites touristiques. Autrement dit, l’identification et le recensement des constructions anarchiques sur les collines, le lotissement, l’aménagement et le reboisement de nouveaux sites lotis, l’urgence et la gestion des catastrophes et le plaidoyer à mener pour mobiliser les ressources font partie des grandes tâches attribuées aux commissions.
Le plan prévoit le lotissement de deux nouveaux sites de 75 ha aux villages de MUKUKU et KATANIKA à une dizaine de km au Nord-ouest de Kalemie. Cette opération cible environ 2000 ménages et 2000 parcelles de nouveaux sites à attribuer aux ménages délocalisés. Une opération de distribution des parcelles pouvant abriter les délocalisés des collines qui doit s’effectuer selon les normes modernes. Il faut noter à ce stade que sur le plan de la protection de l’environnement, le projet prévoit le reboisement de 250 ha des collines et le long des cours d’eau de Kalemie. 2500 plantules d’essences variées par pépin vont devoir être transplantées de 6 pépinières créées et opérationnelles.
Par ailleurs, sur le plan de réhabilitation et d'assainissement de la ville, une brigade à mettre en place exécutera les travaux de réhabilitation des ouvrages de canalisation par le débouchage des caniveaux et la démolition des constructions anarchiques. Les intervenants au cours de débats suscités par cette question de démolition des maisons sur les sites à déguerpir ont cherché à savoir d’où proviendraient les ressources de district pour dédommager les victimes en cas d’exécution de cette mesure. Le commissaire de district a rassuré les participants qu'une telle mesure extrême ne rêvet pas de sa compétence; l'autorité de district a voulu plus passer par la sensibilisation des personnes concernées pour comprendre la necessité de vivre dans un environnement adéquat.
En dehors de 29 % de contribution de District du Tanganyika, le District cible les bailleurs de fonds parmi lesquels les partenaires potentiels : la MONUC par sa branche chargée des affaires civiles, le PNUD, OCHA, le HCR, et d’autres ongs internationales.
Voilà pourquoi après validation du plan à l’unanimité des membres participants, le Commissaire Maurice KYONI a sollicité l’effort de tout un chacun s’étant approprié le plan pour arriver à la sensibilisation et l’exécution du projet.
